Mois: juin 2024

La stratégie des héros du ketchup ! #heinz

Si tu aimes le ketchup, c’est certainement grâce à Heinz. Est-ce une bonne chose pour ton goût culinaire ? Ce n’est pas le débat ! Dans une histoire que la marque raconte, elle ne s’adresse pas à celles et ceux qui ne l’aiment pas. Elle a envie de renforcer son image, de jouer sur l’expérience et les émotions qu’elle procure, de montrer qu’elle entretient une relation affective avec ses clients et qu’elle pense à eux, dans leur quotidien. Alors Heinz présente une campagne qui met en scène ses clients, et souhaite leur dire qu’elle les aiment en toute circonstance. Mieux encore, elle les montre comme les héros du quotidien qu’ils et elles sont. Et c’est beau ! Et même drôle ! Une excellente idée pour remercier des gens qui font de tous petites gestes mais qui les font bien. Des gestes en général destinés à faciliter, sublimer des moments de partage entre mais, entre membre d’une tribu ou d’une famille, parce que c’est aussi la mission de la marque, d’embellir ces moments là. Lorsque j’explique …

Le manager et le marketing émotionnel #Podcast

J’ai eu le plaisir d’entrer dans la conversation avec Greg Arvis et son compère Jean-Baptiste Vennin, sur leur podcast consacré au management : Tout part de soi ! Je t’invite à m’y retrouver pour au moins deux raisons, outre la sympathie que je porte à ces deux belles personnes : Or il se trouve que Greg a été un directeur de magasin pour décathlon et que sa vision du management a été nourri par ce vécu avec des équipes passionnées… ce qui nous rassemble encore. Tu vois, quand je te dis l’importance de la rencontre, quand je t’explique que l’étincelle allumée il y a 10 ans peut ranimer la flamme (et pas seulement olympique), et recréer de la valeur et l’envie de la partager. Allez vas-y ! Profite et donne 5 étoiles à ce podcast qui te fera grandir dans tous les épisodes à ta dispositions. #Onenparle https://www.podcastics.com/podcast/episode/episode-37-la-puissance-de-lemotion-dans-le-marketing-et-le-management-303893/

La philosophie dans le marketing saison 7 #TadiKoi

Oh les beaux sujets ! Avec une pluie torrentielle ce matin, j’attends avec excitation la révélation du jour : les sujets du Bac Philo soumis à nos charmants lycéens de France. Et les voilà, enfin, ceux que j’ai retenus pour deux épisodes cette année… 1 – La science peut-elle répondre à nos besoins de vérité ? 2 – L’artiste est-il maitre de son travail ? Parlons science. Oui parce qu’en ce moment j’interview des chercheurs du CNRS autour du logiciel libre et crois-moi, ça nettoie la lucarne de mes oreilles… Oui aussi parce que j’ai cru un court instant de ma vie que j’étais un scientifique, orienté mathématiques et que finalement, revenu à ma créativité paresseuse, je suis un cow-boy qui s’est laissé tomber dans le marketing… Avec un peu d’humour, tu imagines John Wayne avec un bob à fleurs bleues. Tu vois le truc ? Alors la science ? Dure ou molle pour commencer ? Oui on en parlait hier l’adjectif molle pour traduire soft n’est pas très sexy… et encore j’ajoute un y …

Marketing pour les filles : la stratégie du crush !

Tu as eu un crush toi récemment ? Pour qui ? Pour quelle marque ? Le crush est un mot de conversation des jeunes filles et femmes. c’est ce que nous rappelle un excellent article paru dans l’ADN. C’est l’expression courte attribué à un coup de cœur dont on nous prévient qu’il ne dure pas plus qu’un échange de regards ou un kiss entre deux portes. Entre jeunes gens, entre personnes foudroyées d’un regard, c’est un peu d’amour, comme ça vite fait. Tu connais ça ! Et pour les marques ? Est-ce que tu peux avoir un crush pour une marque ? Est-ce que cela rendrait ta relation plus légère, moins engageante, moins durable ? Je pose la question ici. Parce que je suis surpris que ce vocabulaire amoureux puisse encore faire l’objet d’études sociales et genrées. Mais oui, à lire l’article, je comprends que le développement de la conscientisation de la relation affective est avant tout féminine. Faut-il y voir comme l’auteur, une évidente marque du manque de considération que notre société a pour …

Quand les #DNVB reviennent dans le monde réel #Asphalte

Il y a peu la marque Asphalte, que tu connais bien si tu suis ce blog, a décidé de pérenniser son aventure du pop-up store parisien et même de l’étendre à d’autres villes françaises. Après un démarrage en trombe de la marque qui nous promet le meilleur de tout via un :modèle économique basé sur la pré-commande, voici que l’ère post-covid a complètement ralenti l’activité de cette enseigne digitale. Pourquoi ? Dans une vidéo qui pourrait inspirer de nombreuses entreprises par sa transparence et son honnêteté, les deux fondateurs expliquent que l’euphorie de la période covid ayant propulsé les ventes de la marque très haut, le creux a été subi assez brutalement, alors même que commençaient à germer des prescrives de développement international et une levée de fonds pour solidifier l’entreprise. Reste que la principale difficulté rencontrée par la marque, est la distance avec sa clientèle. C’était déjà vrai avant. Rappelle toi qu’il a fallu que j’intervienne auprès de William pour que la marque fasse disparaitre de sa communication tous les véhicules à essence pour …

Conférence : comment faire #moinsmaismieux ? #Geppia

Il y a une quinzaine de jours, j’ai l’immense bonheur de parler à des industriels réunis pour une journée d’inspiration autour de la responsabilité. Le GEPPIA m’a invité à prendre la parole et j’y ai vu l’opportunité d’expliquer ce qu’est concrètement la vision Moins mais Mieux. 3 mots ont suffi pour le dire : Réduire Sublimer Eduquer Tu peux en voir un extrait ici… si jamais cela te donne envie d’en savoir davantage, je viendrais à ta rencontre et j’adorerai adapter mo talk à ton entreprise ou à ton public. #onenparle

La stratégie de l’immersion culturelle #IncredibleIndia

Partir pour l’Inde (pour les Indes aurait dit le voyageur du 20ème siècle) est encore une aventure formatrice, à plus d’un titre. J’y étais la semaine dernière pour y représenter un industriel français à la dimension modeste (ici et minuscule là-bas). L’objectif pour moi état de comprendre comment notre partenaire local s’y prend pour présenter notre offre à des décideurs de l’agro-alimentaire de ce pays continent peuplé de près d’un milliard et demie de personnes. Comment allait-il raconter l’histoire, la mission d’une marque inconnue et pourtant déjà présente chez quelques acteurs internationaux ? Comment des dirigeants de société parfois énormes (à l’échelle de ce pay) pourraient-ils s’intéresser à un acteur français débarquant sur leur sol ? La question de l’adaptabilité de l’offre, du discours à une autre culture permet de s’interroger sur la compréhension mutuelle, sur la vitesse de connection entre deux parties prenantes à la fois curieuses et prudentes. Faut-il aller vers l’autre ? Pouvons-nous oser la même impertinence dans le premier échange ou au contraire être sur la réserve dans ce premier contact, …