Il y a plus de 20 ans, lorsque Willy Mansion a eu cette idée d’un label issu de tests réellement faits par des consommateurs, il a du batailler ferme. Pas évident au pays du label rouge et autre médiale agricole de laisser la place aux vrais gens pour goûter et noter des produits.
C’est un boulot d’expert, lui a-t-on souvent répondu.
24 ans après, Reconnu Saveurs de l’Année est toujours là. En mieux.
Parce que Willy a traversé les épreuves de la concurrence et que désormais, il sait que les produits alimentaires doivent aussi devenir responsables, tant de la qualité de notre alimentation que de la préservation des resources de notre planète.
Alors que le label a été un client de mon agence de l’époque, le label est aujourd’hui accompagné par d’autres dans cette démarche responsable et, sans aucun doute, pédagogique pour le marché et les consommateurs.
Si le palmarès de cette 24ème édition ne choquera personne, il est bon de noter que certains principes de choix sont encore trop méconnus.

Rappelons que désormais, et ce grâce aux différentes ressources techniques mobilisées, la note globale du produit prend en compte systématiquement – outre le Goût – :
- la Qualité nutritionnelle en s’appuyant sur le Nutri-Score,
- l’Ultra-transformation des produits avec le cahier des charges GOÛM,
- les Engagements de durabilité en prenant appui sur les ODD des Nations Unies,
- les Labels et certifications,
- et la Recyclabilité de l’emballage (déclinaison Responsable, Bio & Vertueux)
Si vous ajoutez à cela, les engagements de la marque Monadia qui détient et valorise ce label, vous comprendrez que le monde change et que, parfois, un seul homme suffit à faire bouger des lignes.
Alors bravo à Saint-Mamet (tiens un autre de les clients d’agence, ça fait plaisir), bravo aux 2 vaches (tiens une marque qui a rendu le brio fun…) et aux autres présents sur le podium avec une note moyenne supérieure à 15/20. Des scores de satisfaction qui étaient rarement atteint il y a 20 ans, preuve que si notre exigence de consommateur averti progresse, les industriels s’en rendent compte et améliorent eux aussi leurs recettes.
Souvent on critique vertement le marketing pour l’influence sur notre consommation qu’il peut avoir, souvent on croit que les distinctions sont arranger ou monnayer.
Pourrait-on prendre le temps de découvrir ce que certains font mieux que d’autres pour le plus grand bien de leurs clients ?
Merci Willy !
