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Une première très émotionnelle sur #ClubHouse ! merci Bob !

J’ai vécu ce matin un très bon moment ! Créer cette room du marketing émotionnel sur #ClubHouse était un défi et un opportunité. Je dois pour commencer remercier mon co-animateur, Alexis de Prévoisin, auteur d’un livre sur le retail et les émotions, ainsi que nos deux premiers invités, Sophie pour l’enseigne d’optique Acuitis et Damien pour Butagaz. Vraiment très sympa d’échanger très librement sur les marques, leurs empreintes émotionnelles et la qualité de l’expérience qu’elles proposent pour symbole du passage à l’exécution. Car au-delà des concepts du marketing émotionnel, au-delà d’une vision stratégique des marques et de leurs missions, il y a une certitude que tous ont énoncé avec force : l’exécution dans le détail d’une expérience est ce qui ancre des émotions positives dans le cœur du client. Avoir conçu les magasins comme une maison accueillante, avoir pour mascotte Bob l’ourson bleu signifiant la mission d’apporter le confort dans les foyers, ne peut suffire aujourd’hui. Le client à qui l’on fait ses promesses magnifiques, attend d’autant plus une expérience de qualité irréprochable. C’est d’ailleurs …

En finir avec la symétrie des attentions ! #CX

Damien réagit avec sa bienveillance naturelle à un tweet dans lequel je refuse de confondre harmonie et symétrie des attentions en réponse à la mise en avant du livre de Angélique Gérard (cf mon article précédent). Et si nous nous réconcilions en affirmant qu’il n’y a pas d’harmonie sans symétrie (me propose-t-il) ? Avant de te répondre sur le fond, Damien, je précise que je ne crois pas (encore) être dans la nécessité de me réconcilier avec… hum… bref ! Chaque fois qu’un « expert » évoque cette fameuse symétrie des attentions (et tu voudras bien m’en excuser cher Thierry), je fais un bond hors de mes chaussettes ! Non ! Stop ! Arrêtons d’évoquer ce serpent de mer, ce monstre du Loch Ness, cette sirène dévoyée, s’il vous plait ! Je sais que tu vas trouver que j’exagère, que j’en fais trop et qu’après tout, ce n’est pas la mer à boire (comme dirait Jean Le Cam revenu à « la place du con » mais grandi d’un 5ème Vendée Globe). Tu as raison ! Et pourtant… Sans …