Oui l’émotionnel gagne les marques et leur communication, leur marketing, et je m’en réjouis ! Non pas seulement parce qu’il faudrait mettre de l’émotion dans les messages, mais bien pour l’espoir que l’on fasse enfin attention aux gens, aux individus émotionnels que sont les clients.
GFK vient d’intégrer l’empreinte émotionnelle comme composante majeure dans un indicateur de la fidélité des clients, tandis que nous apprenons que si les MDD reculent encore (où sont ceux qui les voyaient déjà crever les plafonds en parts de marché ?), c’est surtout parce qu’elles sont vides de valeur et notamment de plaisir. Que de bonnes nouvelles !
Ma déclaration d’amour au marketing émotionnel, au happy marketing n’est encore qu’une larme dans un océan de rationalité et de course aux chiffres sans signification. Mais quelle importance ? L’idée ne meure pas si facilement et je suis heureux de la voir se propager lentement. Merci à Cartier de mettre en scène avec autant de sensibilité, l’indispensable romantisme qui sauve les marques de la médiocrité conforme.
Déclarez-vous, vous aussi, chers lecteurs !
Pour ceux qui se demanderaient pourquoi la marque propose de revoir chaque couple dans un épisode à part, l’explication est dans la personnalisation du contenu et de l’offre en fonction des comportements, des préférences et de goûts de chacun. Une marque « Inbound », pourrait ainsi proposer une suite, ou même une offre adaptée selon la segmentation de l’audience, à partir de nos interactions avec les vidéos. Une scénarisation de la circulation des contenus et de l’audience que l’on peut déjà orchestrer via certaines plateformes. A suivre…