Une chanson pour Pierrot. Ce gars sympathique qui se prépare de bonnes gamelles pour sa pause déjeuner, qui y met de l’amour, de la passion et quelques jolis ingrédients. De beaux légumes.
C’est un ours délicat avec un coeur grand comme l’Alaska…
Et pourtant, un jour, puis un autre, puis encore un autre, sa gamelle disparait du frigo. Le voilà en colère, comme un mousquetaire à terre, un amuseur muselé.
Rêveur contemplatif, optimiste à contre vent, Pierrot ne comprend pas ce qui lui arrive, cherche qui peut oser lui piquer son déjeuner.
Finalement il identifie l’auteur de ce larcin inacceptable. Il se fâche contre lui. Il y réfléchit. Et…
Tu vois le truc d’une histoire, c’est ça. Tu imagines qu’il va trouver une solution parce qu’il est un humain, attentif aux autres autant qu’à lui. Et parce que la générosité, la conscience que c’est parfois difficile pour tout le mode, fait dire à cette enseigne que bien manger ne devrait pas être un problème. Pour personne, et encore moins pour Pierrot.
C’est beau ! C’est bien écrit. Et si tu n’as pas encore compris, la fin mérite d’être vue et partagée. Pas la faim. La fin de l’histoire. Qui donne envie d’être un Pierrot !
Un jour, toi aussi, tu inventeras des histoires qui font rêver. Si tu veux, on les écrira ensemble.
Merci Romance de savoir convaincre que l’histoire est ce qui nous rassemble.
Merci Mathieu des Longchamps pour cette jolie balade musicale positive.
