Emmanuel et Didier sont assis autour d’une table où j’ai pris ma place à leur invitation. Ils veulent me questionner (me soumettre à la question comme on disait sous l’inquisition…), ils sont curieux de savoir comment on peut développer le marketing émotionnel y compris dans un secteur aussi porté sur l’analyse rationnelle (du risque) que celui de l’assurance.
3h plus tard, nous devons mettre un terme à notre conversation, contraint par l’heure d’une fin de soirée annoncée. Ai-je bien répondu à leurs questions ? Sont-ils séduits par mon approche romantique du marketing ? Nos impertinences croisées ont-elles fait progresser notre réflexion individuelle ? Qu’avons-nous appris les uns des autres ?
Honnêtement, je me suis régalé ! Là tout de suite, je dirai qu’il y aura une suite constructive à cet échange, à cette rencontre… Suis-je optimiste ? Bien sur ! Il nous reste tant à apprendre des futures conversations…
Avant cela, j’aurai lu un ouvrage passionnant (enfin je le crois) découvert hier et qui explique pourquoi :
« The key to success in life and business is to become a master at Conversational Intelligence. It’s not about how smart you are, but how open you are to learn new and effective powerful conversational rituals that prime the brain for trust, partnership, and mutual success. » Judith E. Glaser.