La fidélité : éthique ou morale ?
C’est le problème quand tu manges une « pizza light » parce que Stéphanie (@ZatenkoS) m’a dit : « tu peux prendre ça, une demie-pizza et une salade, ça ne fera pas de toi une fille ! » Ouf ! Alors que notre discussion portera pour l’essentiel de ce déjeuner passé à la vitesse d’une keynote, sur la générosité du giver et sa capacité à se détacher des enjeux Roistes dont on l’accable dans une société à la recherche du business immédiat, je me demande si ma réponse positive à cette propositon indécente est éthique ou morale… Suis-je fidèle à mes valeurs (suis-je éthique ?) en suivant un avis bienveillant ou au contraire fidèle à la morale partagée qui voudrait que j’accepte d’être comme l’autre sans autre préjugé ? Spinoza versus Kant : le combat des chefs sur une table de Pizzeria ! Si l’on constate un peu partout que le taux de clients fidèles tourne autour de 15%, est-ce purement le reflet d’une fidélité contrainte par la morale (par la pression sociale) ou parce qu’il y aurait 15% des clients …