Jour: 30 avril 2018

Le marketing émotionnel doit-il être mis en veille ?

Lorsque je décide de m’y coller, je sais à l’avance que je vais découvrir des publications dont la pertinence est très relative et qui vont provoquer en moi quelques émotions négatives. Mais puisqu’il faut vivre sous l’imposante cascade des alertes (qu’elles viennent de Google ou d’ailleurs), je me résigne à l’exercice. Et si je mettais les mots clés de mon activité champ d’écriture, d’intervention en public, du périmètre de mes conseils stratégiques ou marketing, bref de mon métier, sous surveillance ? L’idée est-elle saugrenue ? Non, mais les résultats peuvent l’être. A vouloir scruter l’horizon (en regardant ce qui est déjà référencé par Google, n’est-on pas en réalité orienté vers le passé ?), vais-je prendre une averse de mauvaises surprises ? Je n’ai pas particulièrement à craindre que d’autres écrivent ou parlent de marketing émotionnel. J’aimerais au contraire que nous soyons plus nombreux à en vanter les mérites et la philosophie toute entière tournée vers et pour l’humain. Et puis, quels moyens seraient les miens, si toutefois je venais à surprendre ici ou là des …