Juste avant de te faire croquer par une citrouille malfaisante, je te livre un nouvel épisode des marques qui font du bien. Aucune n’est directement impliquée dans cette foire aux bonbons fréquentées par les sorcières et remplie de toiles araignées, et avouons-le, c’est tant mieux !
Allez lâche un peu ton crayon noir et ton balai, c’est parti !
Commençons par une offre de saison : Sauvons les manteaux maltraités avec APM-France ! Oui il te reste une dizaine de jours pour y penser, à tous ces magnifiques manteaux que tu accumules depuis des années, que tu laisses moisir dans tes placards au cas où. Au cas où quoi exactement ? Une brutale période glacière qui envahirait nos contrées, une avalanche de neige sur ton toit ou ton prochain voyage sur mars ? Si tu cherchais une mission à ta portée, voilà qui devrait te combler de joie.
Irrésistible APM qui nous donne rdv le 9 novembre avec un teaser qui m’a fait du bien. Et toi ?

Mais tu peux aussi sauver le monde en étant un.e hacker.euse ! Pas de ceux ou celles qui piratent les services informatiques des plus grandes institutions ou nous polluent avec des virus informatiques dévastateurs ou qui jouent l’arnaque minable pour dépouiller les plus crédules d’entre nous. Des hackers qui sont rétribués pour leur capacité à hacker des entreprises, justement parce qu’ils auront mis en lumière les failles de sécurité qui les menaçaient. Brillante idée que de les réunir sur une plateforme, déjà internationale, dans un intention bienveillante.
La start-up YesWeHack (joli choix de nom) fondée en 2015 compte déjà 70 collaborateurs, et s’appuie sur 30 000 hackers dans le monde. Les primes offertes aux meilleurs vont jusqu’à 250 000 euros ! En juillet dernier YesWeHack a levé 16 millions d’euros pour poursuivre sa croissance. La société intervient notamment pour DoctoLib ce qui devrait nous rassurer, nous les utilisateurs sur la fiabilité de la protection des données de santé, par exemple. Remercions par avance Guillaume Vassault-Houlière sont ingénieux CEO et co-fondateur.

Comme nous ne manquons pas de cerveaux brillants en France, cette semaine les met à l’honneur, surtout lorsqu’ils sont orientés vers le bien des autres. C’est certainement le cas de celui de Paul Barbaste, qui mouline à grande vitesse depuis 3 ans sur un projet dont le nom de code évolue et que nous découvrons cette année sous celui d’Inclusive Brains. Déjà primé par l’X, ce projet à pour vocation de proposer une interface cerveau ordinateur (Brain Computer Interface) capable d’aider les personnes qui souffrent de handicap dans l’apprentissage et l’exécution de tâches au travail.
Ce jeune passionné par le fonctionnement de notre cerveau et la capacité à commander des objets connectés par la pensée, a été rejoint par Olivier Oullier, neuroscientifique, pour développer ces solutions qui autoriseront les personnes en déficit de capacité, à reprendre le contrôle des objets connectés utiles à leur job (station de travail, ordinateur, etc). Un progrès formidable pour le monde du travail et surtout pour celui du « handicap ». Si certains handicaps peuvent être effacés par la technologie, nous n’exclurons plus les moins bien lotis (physiquement) d’entre nous et/ou nous profiterons de leurs talents. Merci messieurs !

Faire le bien c’est aussi nous prendre soin de nos libertés. Sur internet, la liberté est sans arrêt en danger, et malgré les nouvelles réglementations, malgré la prochaine disparition des cookies (vraiment ?), il reste beaucoup à faire pour que les marques acceptent enfin de nous demander notre permission. Alors si le consentement était une vraie valeur de respect de l’individu, nous aurions fait un pas en avant. Tu ne crois pas ?
Didomi propose ainsi aux entreprises de gérer de manière parfaitement fluide le consentement de leurs visiteurs, prospects ou clients. Aujourd’hui Didomi recueille plus de 60 milliards de consentements par mois ! Wahou ! Et non seulement cela permet d’être clair et précis avec chaque internaute quelque soit le device qu’il ou elle utilise, mais en plus chacun.e pourra y revenir pour modifier sa permission au fil du temps et de l’usage qui en est fait. Ainsi si des marques comme Rakuten ou Orange utilise ce service, c’est sans aucun doute pour améliorer l’expérience client au global, en se montrant aussi respectueux que possible de la volonté de tous.
Reste peut-être à m’expliquer ce que signifie Didomi ?… #onenparle. Je vous fais confiance pour me fournir une réponse…

Et parce que nous avons un long week-end à la maison devant nous (sauf si tu as eu l’idée généreuse d’emmener ta famille déprimée par la rentrée ou l’arrivée de l’hiver au bord de l’eau ou dans les montagnes), je souhaite te proposer un rdv constructif avec Leroy Merlin. Cette enseigne que nous aimons parce qu’elle a compris que nous souhaiterions être meilleurs en bricolage et ne plus percer des trous n’importe comment dans nos murs, innove encore sur le thème des ateliers participatifs avec une version géante au Ground Control à Paris.
3 espace de co-studying animée en partenariat avec Cécile Siméone sont mis en place et ouvert au public et tout particulièrement des étudiants. Youpi ! Nous allons progresser en peinture, collage de papier peint, pose de carrelage et de parquet, bref, tout ce qui fera de notre sweet home un endroit joliment décoré. Merci Cécile d’être là pour nous prodiguer conseils et encouragements et bravo d’avance à toutes et tous pour votre dynamisme créatif.

La vie en couleurs à l’intérieur et à l’extérieur est à portée de touts les marques. Il suffirait d’affirmer et de démontrer une farouche volonté de faire le bien. Cette idée d’impliquer les clients dans le progrès collectif me semble essentiel. En proposant des actions que nous pouvons réellement réaliser, toutes et tous à notre niveau, nous prenons conscience d’être inscrit dans un mouvement positif. Il suffit d’y croire !
Voilà ! C’est tout pour cette semaine. J’espère que vous donnerez un maximum de bonbons aux enfants déguisés et que vous aurez à coeur de partager vos expériences positives.
La suite au prochain épisode !