Jour: 8 février 2014

L’intelligence marketing peut-elle être artificielle ? (épisode 2)

Comment synthétiser nos idées foisonnantes ? Comment réussir la transition entre le brainstorming intense et échevelé, proposé sans contraintes et vécu comme un défouloir (si les participants sont en forme !) ? Faut-il un ordinateur pour rassembler, pour regrouper, pour classer, ou est-ce une conviction qui doit émerger de façon intuitive ? Comment passons-nous du coq à l’âne sans perdre l’équilibre ? Suite de ma conversation autour l’arrivée de la sémantique dans le monde digital et des transformations qu’elle induira dans notre approche du client, avec Thomas Hourriez, directeur marketing de Sépage : Quels sont les champs d’application de ce nouveau mode de « pensée » sur internet? Et pourquoi pas ailleurs aussi ? Sur le Web, la surcharge informationnelle croissante est souvent perçue comme un obstacle. Et de fait, elle l’est. Elle l’est pour l’utilisateur, qui est saturé d’information, notamment avec la multiplication d’espaces publicitaires plus ou moins pertinents, elle l’est aussi pour les entreprises du Web, qui peinent à faire le tri dans ces données et à capter des internautes toujours plus avertis et difficiles …