semaine du happy marketing, vive les marques !
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Les marques qui font du bien #ep24

Déjà vendredi et je cours comme Robinson pour boucler cet épisode ! Et puis Lou m’appelle pour me relancer sur son communiqué de presse, finalement envoyé par Ines et qui contient un lien vers une page 404 ! Tu as eu de la chance Lou. Vraiment !

« Isn’t that strange that one day follows another »… chante-t-elle. Profite Lou ! (https://youtu.be/uwPnaKUU0CY)

1 – La Saint Glin-Glin dans le retail

Tu vois, je te mets à l’honneur. Toi mon commerçant préféré. Toi qui a toujours été là, juste à quelques pas et qui tient à ma fidélité plus que tout. J’y reviendrais puisque la Saint Glin-Glin, ce n’est pas pour tout de suite, mais pour le 21 mars. Du 15 au 21, une semaine de folie pour le retail qui en a bien besoin. Qui est derrière cette initiative à la fois osée et d’une belle légèreté ?

Raphaël Palti, président fondateur du groupe Altavia (autant dire une agence), spécialisée dans la communication et la promotion du retail en France. Bravo à lui pour cette idée de la fête qui nous manque tant depuis deux ans.

Bravo aussi pour la campagne décalée qui met un peu de fraîcheur dans les discours. Nous ne savons pas encore si les commerçants suivront ce mouvement et oseront faire les fous… mais pourquoi pas !

2 – Bio Demain, dès aujourd’hui !

Tu regardes l’émission qui propose à des créateurs d’entreprises le soutien éventuel de beaux investisseurs médiatisés sur un plateau. Tu les aimes tous, parce que leurs projets sont bien choisis et présentés avec tellement de coeur et d’énergie. Alors, tu le sais, l’histoire racontée et la « présence » des fondateurs face à leur jury d’un soir, font toute la différence. Bien souvent, ceux qui ne suivent pas et donc refusent la participation financière proposée, déclarent que l’histoire et même le marketing ne leur parlent pas. Hélas !

Ces deux jeunes lillois ont réussi. Et si Marc, Anthony, et Jean-Pierre sont devenus actionnaires, c’est cool. Mais l’ambition du projet est bien orientée vers demain. Parce que l’on imagine que produire bio est une évidence pour un agriculteur, alors que cette transformation de notre production agricole exige des investissements, un soutien au long cours qui fait défaut. Alors oui c’est une magnifique aventure qui a déjà concerné 150 agriculteurs, converti 3000 hectares et reversés près de 60 000 euros de rémunération complémentaire pour soutenir la profession. Ca fait du bien !

«Dans “entreprise sociale”, il y a “entreprise” et une entreprise se doit d’être rentable. Mais on veut être clair avec vous : on s’est engagés auprès d’agriculteurs, de citoyens. On aurait grand plaisir à ce que vous nous rejoigniez mais la priorité pour nous restera toujours d’aider les agriculteurs. On ne fera pas de greenwashing, c’est pas nous, on ne fera jamais ça.” Maxime Durand – cofondateur.

Merci !

3 – Chez Amazon, il a des talents engagés.

Oui tu vas me dire, Amazon, c’est gros. Et pas toujours le symbole de la responsabilité. Mais pourrais-tu regarder avec un peu plus de bienveillance les nombreux talents engagés qui ont rejoint cette entreprise ? J’en parlerais régulièrement parce que j’aime que l’on reconnaisse le talent et que je crois sincèrement que cette entreprise remplit cette mission depuis son origine (prends un instant pour considérer que mètre en avant des livres et les rendre accessibles à tout le monde, y compris en version audio participe de l’économie de la connaissance).

Elise Beuriot, est une femme engagée. Elle dirige un programme pour former, encourager les ingénieurs du futur. Sensibiliser les jeunes, filles et garçons, aux métiers du numérique est une mission essentielle et lorsqu’on touche 100 000 enfants, on peut commencer à parler de résultat. Parce que lorsqu’un géant bouge, l’impact positif est tout de suite conséquent. Promouvoir l’égalité des chances, c’est un engagement noble, surtout pour celles qui comme Elise ont réussi.

4 – SIGA : enfin un indicateur scientifique pour notre alimentation

L’indice Siga est un score scientifique inédit pour évaluer le niveau de transformation des aliments. Avons-nous besoin de tout savoir sur ce que nous mangeons ? La réponse a nettement basculé vers le oui, depuis que nous nous méfions des pangolins. Alors quand un aliment a été transformé, est-il encore sain ?

« Qu’est-ce qu’un aliment sain ? Le potentiel santé d’un aliment ne peut plus être réduit à sa seule qualité nutritionnelle (quantités de gras, protéines, fibres, sucres, sels, etc.). Il faut tenir compte de la qualité globale de l’aliment, de sa structure, et de celle de ses ingrédients.

La structure d’un aliment, appelée matrice, a un impact direct sur la façon dont il est métabolisé par l’organisme. L’analyse de cette matrice suppose de comprendre les ingrédients utilisés : les sucres présents sont-ils naturels ou ajoutés ? par quels processus ces ingrédients ont-ils été obtenus ? etc.« 

Comme je ne suis pas un expert, je cite ici le site SIGA, pour ne pas transformer le message. A toi de te faire un avis, et de prendre en compte ce nouvel indicateur. #oupas

5 – Teads Care, quand la publicité incite à la responsabilité

Tu le sais, cher.e lectrice.teur, je ne suis pas un fervent supporter de la pub ! Mais il faut souligner les efforts faits par ce secteur, par les agences comme par les annonceurs, pour faire évoluer leur posture. D’ailleurs, nous aurons toujours besoin de communiquer, notamment pour expliquer pourquoi nos comportements, notre regard sur le monde doivent changer. Alors si Teads, un acteur désormais très important dans la publicité digitale, peut aider les marques à devenir plus responsable, je propose de les féliciter.

Ainsi Ruinart, cette magnifique maison de champagne du groupe LVMH, lance une campagne au profit de l’Unesco, et du programme Man and the Biosphere. Il s’agit bien de donner de la visibilité à ce programme et, dans le même temps, de mètre en avant les initiatives responsables de la marque. Cette campagne digitale aura couté 300 000 euros l’annonceur, dont 30 000 au profit de l’ONG. Et c’est la que Teads Care entre en scène, puisque l’agence abonde à la même hauteur, ce qui porte le don à 60 000 euros au total.

Si nous sommes engagés ensemble, nous serons toujours plus efficaces. La responsabilité dans l’action doit être mutuelle.

J’aime beaucoup cette idée que nous devons soutenir les efforts des uns et des autres. Et toi ?

N’hésites pas à partager cet épisode des marques qui font du bien. Tu feras ainsi du bien autour de toi. Merci !

Voilà !

C’est tout pour cette semaine. Merci à celles et ceux qui me font part d’initiatives remarquables.

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CEO Eforbrands Consultant / Speaker / Formateur / Auteur du Marketing Emotionnel Fondateur du Club du Marketing Emotionnel - Intervenant pour les MSc MBA Inseec Paris et l'ISCOM en marketing émotionnel, stratégies de fidélisation, relation client... Auteur des livres : Tout savoir sur Le Marketing Emotionnel aux Editions Kawa - nov 2013 La Fidélité, du chaos à la zone de confort aux Editions Kawa - Janv 2017 Marketing ZERO avec Philippe Guiheneuc, chez 1min30 publishing - juin 2021 Fondateur de Eforbrands et de LePartenariat Rédacteur du blog marketingemotionnel.com

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