Oui il fait beau, le ciel est bleu et tu as envahi les terrasses pour bien profiter en ce mois d’avril. C’est bien. Mais ne serait-ce pas aussi le moment de faire un peu (plus) de sport ? Allez on s’y (re)met ? Tu me suis ?

Je discute de sport avec Moko qui me fabrique avec constance et bonne humeur des burgers frites pas forcément allégés, car lui et moi partageons cette passion depuis longtemps. Cela nous semble naturel. Elle est en nous pour la vie. Pourtant, il faut bien te l’avouer, cher.e lectrice.teur, plus les années passent et plus la motivation nous échappe, nous laisse trouver des excuses faciles lorsqu’il s’agit de renoncer au footing matinal.

Mais toi, qui est jeune, pourquoi ne trouvez-tu pas cette énergie ? Pourquoi refuses-tu de te fixer de nouveaux challenges, de t’élancer dans la performance, la satisfaction de sensations inconnues, du frisson de la sueur qui te coule dans le cou ?

En questionnant des étudiantes, alors que nous évoquons ensemble le marketing comportemental, je vérifie la pertinence des propos de Dan Arieli qui nous explique que nos comportements ne changent qu’à la condition que les frictions soient réduites au strict minimum, et que les motivations soient le plus élevées possible. Ainsi, si le sport est une contrainte, s’il y a trop de points de friction, il sera difficile de se motiver pour aller à la salle de sport. Et figure-toi que l’analogie vaut aussi pour le marketing.

Ah bon ? Regarde ce film de Decathlon et demande-toi comment une marque fait pour renouveler son discours, pour sortir des clichés, pour faire passer ses valeurs et son amour des gens avant toute considération commerciale ? Pourquoi nous propose-t-elle de nager plus loin que la ligne de bouées qui détermine souvent notre limite ?

Parce qu’il est clair que cette ligne est imaginaire. Parce que chacun de nous la fixons, avec un peu trop de complaisance, là où nous sommes certains d’arriver sans effort. Exactement comme ce responsable marketing qui ne franchit aucune ligne blanche (ou rouge si tu préfères) parce qu’on ne sait pas ce qui peut se produire au-delà. Le truc, c’est que si tu n’y vas pas, si tu trouves des tas de raison pour justifier ton refus devant l’obstacle (oui j’ai aussi pratiqué l’équitation dans ma jeunesse), c’est précisément parce que tu t’es fixé une limite.

Peu de marques ont la clairvoyance de l’affirmer : c’est en dépassant cette limite fictive que les histoires deviennent extraordinaires. Si tu es sur une plage ce week-end, fais-toi plaisir, et nage au-delà de cette limite qui te retient près du bord. Oui c’est prendre un risque. C’est surtout goûter à la liberté. Le sport est un moyen unique de se libérer. Se libérer des contraintes, des regards des autres, de nos propres préjugés, de nos faiblesses, de nos atermoiements, bref de tout ce qui nous éloigne de cette sensation inouïe de nager vers le large sans destination. Alors vas-y ! Fais toi plaisir pour une fois…

“Avec ce nouveau territoire de communication, nous inscrivons plus que jamais l’innovation au cœur de notre stratégie avec toujours pour objectif de rendre le sport accessible à tous” souligne Sonya Mahcine, Directrice de la Communication Externe chez DÉCATHLON FRANCE. Je la crois sincère quant à l’intention et au message.

Innover, c’est franchir la ligne et nager plus loin. Merci Sonya et Erwan (et merci à BETC pour cette magnifique réalisation).

Tu est prêt.e ? Allez c’est parti, demain matin, on fait du sport !