Certains images valent mieux qu’un long discours. Jérôme nous l’a répété plusieurs fois et pas toujours en étant cool : il n’aime pas les « pauvrespoints » ! Moi non plus ! Mais il faut bien avoir un guide visuel lorsqu’on raconte des histoires sur une scène et devant une audience hyper exigeante et connectée comme celle des Sommets du Digital. Enfin, ça peut nous aider à souligner nos propos, à marquer les esprits et, parfois, à transmettre une information…

Alors, je vous propose ici (et j’y reviendrais plus en détails plus tard), de vous livrer mes coups de cœur pour cette édition de ce qui est définitivement un événement unique et essentiel.

Qui sont ces gens qui changent tout et qui m’inspirent pour des semaines, des mois entiers et que j’emporte partout où je me rends, comme mes petits canards préférés ?…

3 jours de conférence passionnantes et quelques fulgurances qui laissent des éclairs zébrés dans mon cerveau avide de savoir, que je résume en quelques flashs :

Rien n’aurait été pareil sans le duo d’animateurs et chanteurs Génépi que furent Jérôme et PPC ! Merci et chapeau bas messieurs pour cette performance remarquable d’équilibre et d’humour distillé ! De la finesse, de l’esprit en plus de l’amour des speakers et des participants. Brillants !

Notre maître sur une scène qui nous aura fait rire (d’un rire franc et parfois grinçant) en nous avouant son « bullshit out ». Car oui le digital est très souvent géniteur d’une énorme masse de bullshit, et oui encore, cher Vinvin, il est urgent de dégonfler quelques melons pseudo experts de la digitalisation de nos vies. Merci à toi !

Mon ami Gaylord, patron inspirateur de Like That, a d’ailleurs mis l’accent sur ce ras-le-bol du jeunisme ou de cette folie de vouloir différencier les générations. Dans la salle, le digital n’avait pas d’âge et si certains comportements ont été bouleversés par l’omniprésence du mobile, nous devrions davantage réfléchir en terme d’usage et garder en tête qu’il n’y a pas de meilleure conversation que celle qui relie les humains entre eux. Bravo pour le maquillage ! J’adore ! Le talent de ne pas accepter de limite…

Et puis Grégory nous a rappelé que l’influenceur est une espèce rare qu’il nous faudrait protéger. L’utiliser sans précaution et sans égard pour sa passion, ne saurait être fructueux pour les marques. Clair et efficace démonstration, un peu comme un Vlan vigoureux !

Une pause vin chaud avec les moniteurs éclairés de la station de La Clusaz et je reviens vers vous avec la suite… #oupas